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23/12/2024

LES BONS MOTS DE L'HISTOIRE, NANCY WARD : Vous savez qu’on considère toujours que les femmes ne sont rien

 

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LES BONS MOTS DE L'HISTOIRE, NANCY WARD / Vous savez qu’on considère toujours que les femmes ne sont rien ; mais nous sommes vos mères ; vous êtes nos fils. Notre appel est pour la paix

Podcast sur Sound Cloud

Amérindienne Cherokee,  Nancy Ward, est une Ghigau, titre prestigieux accordé à des femmes remarquables leur accordant le droit de siéger au conseil. Féministe en avance sur son temps, guerrière mais aussi femme de paix, profondément humaniste elle reste un exemple univerel,

Avec les esprits
Nanyehi nait vers 1738 à Chota capitale Cherokee actuel Tennessee. Vers 1751, elle épouse Tsu-la, membre du clan de chasseurs Aniaoi, le clan cerf. Ils ont deux enfants.

Ghigau, « femme aimée »
En 1755, les Cherokees et le peuple rival des Creeks, en guerre, s’affrontent lors de la bataille de Taliwa. Nanyehi combat aux côtés de son époux, préparant ses armes et ses munitions. Quand Tsu-la est tué, elle ramasse son fusil et poursuit le combat, ralliant son peuple par un chant de guerre et les menant à la victoire.

Suite à sa participation déterminante à la bataille, Nanyehi reçoit le titre prestigieux de Ghigau « femme aimée » ou « femme guerrière ». Sa parole gagne un poids et une influence considérables.

Nancy Ward
Des colons européens de plus en plus nombreux s’installent en territoire Cherokee, et les Cherokees concluent une alliance avec eux, notamment contre leurs peuples rivaux. Des amérindiennes épousent des colons, et Nanyehi se remarie avec Bryant Ward. Ils auront une fille mais Bryant est déjà marié ;Persuadée que les Amérindiens et les colons arrivés d’Europe peuvent vivre en paix, elle s’intéresse de près à la culture des arrivants et s’emploie à nouer avec eux de bonnes relations.

« Laissez vos fils être les nôtres »
Nancy Ward négocie un traité de paix entre Cherokees et Américains. Par la suite, elle oeuvre à nouer des alliances et à promouvoir de bonnes relations entre les deux peuples en participant à des négociations de traités. Comme les délégations américaines se montrent surprises d’avoir affaire à une femme, elle se dit, elle, surprise de ne voir aucune femme parmi eux et répond :

(Vous savez qu’on considère toujours que les femmes ne sont rien ; mais nous sommes vos mères ; vous êtes nos fils. Notre appel est pour la paix. Laissez-le continuer. Cette paix doit continuer pour toujours. Laissez les fils de vos femmes être les nôtres ; nos fils être les vôtres. Laissez vos femmes entendre nos mots).


Dernières années
Après la guerre, Nancy Ward s’oppose à de nombreuses reprises à la vente de terres Cherokees aux Américains. Elle tente de convaincre son peuple de l’éviter, mais devenue trop malade elle ne peut pas empêcher la vente de terres et doit suivre son peuple vers l’ouest. Elle meurt en 1822 ou 1824, quelques années avant la Piste des larmes, qui verra la déportation du peuple Cherokee et d’autres peuples amérindiens vers l’ouest dans des conditions dramatiques.

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Diego DIAZNombre de pages : 13220 €
Format(s) : Papier EPUB PDF

 

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03/12/2024

Noël : l'Avent, des origines chrétiennes au calendrier allemand

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Cette période sainte, qui tire son nom de l’équivalent latin du mot "arrivée", sert de compte à rebours jusqu’à Noël, jour où les chrétiens célèbrent la naissance de Jésus-Christ.

De Erin Blakemore pour National Géographic

L’hiver venu, quand la nuit prend le pas sur le jour, les chrétiens observent une période de quatre semaines qui leur permet de se préparer pour leur fête la plus importante : Noël. L’Avent est l’occasion d’allumer des cierges, de se recueillir, et d’éprouver l’espérance suscitée par la naissance prochaine du Christ.

La date à laquelle commence l’Avent change chaque année. En 2024, l’Avent commencera le dimanche 1er décembre et prendra fin le mardi 24 décembre.

LES ORIGINES DE L'AVENT

L’Avent tire son nom du latin adventus, qui signifie arrivée. Au 5e siècle de notre ère, l’Église s’est consolidée, et avec elle les traditions qui précèdent le 25 décembre. Selon certains historiens, on aurait fêté l’Avent pour la première fois de manière formelle en Italie, où des pratiquants se préparaient pendant plusieurs semaines, notamment en jeûnant, en priant et en prenant le temps de réfléchir aux valeurs chrétiennes.

Cette préparation est devenue ce que l'on nomme désormais « Avent ». Au 6e siècle, les chrétiens de France célébraient le Carème de Saint-Martin : le jeûne et l'abstinence étaient de mise les cinq semaines précédant Noël.

Aujourd’hui, l’Avent marque le début de l’année liturgique (le calendrier d’observance des solennités chrétiennes). À l’instar de leurs ancêtres, les chrétiens considèrent que c’est une période de préparation à la naissance corporelle du Christ. L’Avent débute quatre dimanches avant Noël et se termine la veille du 25 décembre.

Chacun de ces dimanches porte une signification qui lui est propre, mais également des prières et des rites spécifiques ; ils représentent, dans l’ordre, les vertus chrétiennes de l’amour, de la joie, de l’espérance et de la paix. Pour les croyants, l’Avent est une période à plusieurs facettes au cours de laquelle ils se préparent à la naissance corporelle du Christ, célèbrent la foi et la conversion au christianisme, et anticipent la résurrection du fils de Dieu à la fin des temps (la Parousie).

LA COURONNE DE L'AVENT

Saison de lumière au cœur de l’obscurité hivernale, l’Avent est symbolisé dans les églises par une couronne sempervirente ornée de cierges. En 1838, Johann Wichern, pasteur luthérien allemand, a commencé à se servir de cette couronne pour aider sa congrégation à faire le décompte des jours avant Noël. 

Aujourd’hui, la couronne de l’Avent compte quatre cierges. Les deux premiers et le quatrième sont violets (couleur traditionnelle de l’Avent). Le troisième est rose et on l’allume à mi-chemin entre le début de l’Avent et Noël pour symboliser la joie que procure la naissance à venir.

Traditionnellement, les chrétiens prient, chantent et allument un cierge supplémentaire chaque dimanche de l’Avent de façon que la couronne soit entièrement illuminée au quatrième dimanche. Il arrive qu’on pose un cinquième cierge (blanc) au centre de la couronne. Celui-ci n’est allumé qu’au réveillon.

CALENDRIERS DE L'AVENT

Le calendrier de l’Avent est également une tradition allemande. Au 19e siècle, les adultes s’ingéniaient à trouver des façons d’aider les enfants à compter les jours avant Noël. À partir du 1er décembre, pour marquer l’anticipation de la naissance du Christ, certains luthériens allemands faisaient des traits à la craie sur les portes. Mais d’autres parents avaient recours à des méthodes plus personnelles mêlant bonbons et versets bibliques.

En 1908, l’imprimeur allemand Gerhard Lang a créé le premier calendrier de l’Avent imprimé. Dans sa jeunesse, sa mère lui avait fabriqué un calendrier à la main avec des portes en carton et des friandises à l’intérieur. Il a décidé d’adapter l’idée dans une presse d’imprimerie. Ses produits ont alors rencontré un succès phénoménal en Allemagne. Mais les pénuries liées à la Seconde guerre mondiale et la sécularisation de la période de Noël par le régime nazi ont failli mettre un terme au calendrier de l’Avent.

Après la guerre, un autre imprimeur allemand du nom de Richard Sellmer a obtenu l’autorisation des forces américaines d’imprimer un calendrier de l’Avent pour l’année 1946. Grâce à ses réseaux américains, il est parvenu à introduire son calendrier aux États-Unis. Et par le truchement du président Eisenhower, photographié en train d’en ouvrir un avec ses petits-enfants en 1953, ils sont devenus de plus en plus populaires aux États-Unis.

Bien que l’Avent débute normalement à la fin du mois de novembre, les calendriers d’aujourd’hui commencent généralement le 1er décembre. Ils comportent de petites portes ou casiers contenant des images, des colifichets ou des friandises qui marquent les jours précédant Noël. Les commerçants ont massivement investi dans les calendriers de l’Avent, si bien qu’il en existe pour tous les goûts : beauté, personnages célèbres, dégustation d’alcool…

Comme d’autres traditions liées à Noël, les calendriers de l’Avent se sont de plus en plus sécularisés aux 20e et 21e siècles. Ces traditions restent néanmoins une façon amusante pour les enfants comme les adultes de cristalliser l’enchantement de Noël dans un mois d’obscurité et d’hiver.

 

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01/06/2024

Amelia Earhart, le ciel était sa limite

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Le courage est le prix que la vie exige pour accorder la paix

Amelia Earhart

Elle avait fait construire son avion spécialement en vue de cette aventure. Qu’est devenu le Lockheed L-10 Electra aux commandes duquel la célèbre aviatrice américaine Amelia Earhart a disparu en 1937, alors qu’elle tentait de boucler un tour du monde par les airs? Plus de 80 ans plus tard, le mystère demeure. A l’été 2019, une nouvelle expédition s’est lancée à sa recherche, explorant un atoll situé au beau milieu de l’océan Pacifique, où les restes de l’avion auraient pu se trouver. Las, les importants moyens techniques et humains mis en œuvre n’ont pas suffi pour lever le voile sur cette affaire, l’une des plus emblématiques de l’histoire de l’aviation.

Lorsque Amelia Earhart entreprend son tour du monde, elle a près de 40 ans et une solide expérience de l’aviation. Cette pionnière – elle est seulement la seizième Américaine à obtenir son brevet de pilote – a même déjà plusieurs records à son actif. En 1922, elle vole à l’altitude de 4300 mètres, encore jamais atteinte par une aviatrice, ce qui lui apporte un début de renommée. En 1928, on lui propose de prendre place à bord d’un avion qui va survoler l’océan Atlantique. Reléguée à la tenue du journal de bord, tandis qu’un homme est aux commandes, elle décrira plus tard son rôle comme celui d’un «sac de patate». Elle n’en devient pas moins la première femme à traverser l’Atlantique à bord d’un avion. Et se promet qu’un jour elle reproduira la prouesse en tant que pilote; ce qu’elle fera en 1932, en solitaire de surcroît.

Une chronique évoquant Amelia Earhart: La disparition, une torture pour l’esprit

Un défi à sa mesure

Ces exploits font d’Amelia Earhart une star. Elle écrit des livres, donne des conférences, fréquente des célébrités, dont Eleanor Roosevelt, l’épouse du président américain. Elle crée même sa propre ligne de bagages et de vêtements – des modèles conformes à son image, c’est-à-dire élégants, mais aussi simples et faciles à entretenir. On imagine en effet mal Amelia s’obstinant avec un fer à repasser. Depuis qu’elle est toute petite, dit-on, elle s’intéresse plus à l’aventure qu’à la bonne tenue du foyer. On peut voir des photos d’elle enfant, en culotte bouffante et non en robe comme les autres fillettes, entraînant sa sœur dans des jeux téméraires. En 1931, lorsqu’elle se marie avec son éditeur, George Putnam, elle lui fait parvenir une lettre dans laquelle elle explique qu’elle n’entend pas exiger de sa part – ni respecter elle-même – le code de fidélité traditionnellement attaché au mariage.

Bien décidée à repousser les limites de ce que peut entreprendre une femme de son temps, Amelia Earhart trouve un défi à sa mesure dans l’idée d’un tour du monde. Certes, d’autres aviateurs l’ont déjà fait, mais pas comme elle l’entend: elle veut suivre l’itinéraire le plus long, autour de l’équateur. Elle devra couvrir des dizaines de milliers de kilomètres, avec de nombreuses étapes.

Une première tentative échoue, en raison d’avaries techniques, et un de ses coéquipiers jette l’éponge. Pas Amelia. Le 1er juin 1937, elle se relance depuis Miami, avec comme seul membre d’équipage le navigateur et aviateur Fred Noonan, chargé de l’orientation de l’aéronef. Le voyage se passe d’abord plutôt bien. Le tandem effectue des arrêts en Amérique du Sud, en Afrique, en Inde et en Asie du Sud-Est, avant d’atteindre Lae, en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Les trois quarts du trajet sont alors derrière eux. Mais le dernier tronçon, qui doit les amener à Hawaï en leur faisant survoler l’océan Pacifique, est risqué.

Bruit, inconfort et incertitudes

Il faut essayer de se représenter une telle épopée, à une époque où l’aéronautique n’en est encore qu’à ses débuts. La durée des trajets, l’exiguïté de la cabine, l’inconfort, le bruit… Mais aussi les incertitudes liées à l’orientation, puisque les GPS n’existaient pas. Fred Noonan navigue à l’estime, recourt à une boussole et observe les étoiles pour ajuster la trajectoire de l’avion. Une méthode qui laisse la porte ouverte aux imprécisions. Or, sur la dernière partie de leur trajet, Earhart et Noonan n’ont guère droit à l’erreur: ils doivent se poser sur la petite île de Howland, à quelque 4000 kilomètres de Lae. Un confetti dans l’océan Pacifique, où ils pourront se ravitailler avant de reprendre leur envol en direction d’Hawaï.

A proximité de Howland, un navire des gardes-côtes américains les attend. Mais le temps passe et aucun avion n’apparaît à l’horizon. Sur leur radio, les gardes-côtes entendent finalement Amelia Earhart. Elle les recherche: «Nous devrions être au-dessus de vous, mais nous ne vous voyons pas. Le carburant commence à baisser», dit-elle. Les opérateurs lui parlent mais l’aviatrice ne les entend apparemment pas. Et l’avion reste toujours invisible. «Nous cherchons vers le nord et vers le sud», indique encore l’aviatrice sur sa radio. Le ciel reste cependant désespérément vide. Les gardes-côtes doivent se rendre à l’évidence: le Lockheed L-10 Electra est en difficulté et n’atterrira pas à l’endroit prévu. Ils partent à sa recherche. Durant deux semaines, des navires et des hydravions écument les environs. Mais on ne retrouvera aucune trace de l’avion et de ses occupants.

«Cet avion existe. Ce n’est pas le monstre du Loch Ness, et il va être trouvé»

Robert Ballard, explorateur, découvreur de l’épave du Titanic

Selon l’hypothèse la plus vraisemblable, Earhart et Noonan ont dévié de leur trajectoire et se sont égarés. A court de carburant, leur avion se serait écrasé dans l’océan, loin de toute terre. D’autres théories plus ou moins fantaisistes, voire complotistes ont circulé: Amelia aurait été enlevée par les Japonais, ou serait en mission dans le Pacifique pour les espionner (il y avait alors déjà de vives tensions entre les Etats-Unis et le Japon dans cette région du monde); ou encore, elle serait retournée incognito aux Etats-Unis pour y vivre sous une identité d’emprunt. Une autre possibilité enfin, légèrement moins farfelue, voudrait que les deux aviateurs se soient trompés de cap et se soient retrouvés non pas aux abords de Howland, mais de l’atoll Nikumaroro (qui appartient aujourd’hui aux Kiribati), à quelque 600 kilomètres plus au sud, où ils auraient pu poser le Lockheed L-10 Electra.

Etranges artefacts

Plusieurs éléments viennent appuyer cette hypothèse. D’abord, il y a une photo aérienne de cet atoll inhabité, prise en 1940 par un officier anglais, où l’on peut distinguer une forme évoquant les restes de l’appareil. Par ailleurs, des ossements humains et des traces d’un campement ont été retrouvés sur Nikumaroro, quelques années après la disparition d’Amelia Earhart (ces restes ont depuis été égarés, empêchant toute analyse ADN). Sur la base de ces indices, une organisation de passionnés américains, le Groupe international pour la récupération d’avions historiques (The International Group for Historic Aircraft Recovery, Thigar), a mené plusieurs campagnes de prospection sur Nikumaroro. Ils y ont mis la main sur d’étranges artefacts pouvant être reliés à l’aviatrice: des instruments de navigation, un morceau de tôle et même un pot de crème pour le visage.

S’il est bien possible que son avion ne soit jamais retrouvé, ce n’est pas pour autant qu’il ne reste rien d’Amelia Earhart. Belle, courageuse et affranchie, elle a été une source d’inspiration pour de nombreuses femmes

De quoi convaincre l’explorateur américain Robert Ballard, connu notamment pour avoir retrouvé l’épave du Titanic, de lancer une campagne de recherche autour de Nikumaroro, sur les traces du Lockheed et de ses occupants. «Cet avion existe. Ce n’est pas le monstre du Loch Ness, et il va être trouvé», a déclaré le célèbre «chasseur d’épaves» au New York Times. Sponsorisées par la National Geographic Society, qui en a tiré un documentaire, les recherches ont eu lieu en août 2019, pendant deux semaines. A bord d’un navire équipé d’un sonar, Robert Ballard et son équipe ont cartographié les fonds marins autour de l’atoll. Des robots sous-marins ont aussi été envoyés de par le fond, à la recherche d’indices, tandis que des drones faisaient des relevés aériens sur les récifs entourant Nikumaroro. En vain. L’épave du Lockheed n’a pas refait surface.

S’il est bien possible que son avion ne soit jamais retrouvé, ce n’est pas pour autant qu’il ne reste rien d’Amelia Earhart. Belle, courageuse et affranchie, elle a été une source d’inspiration pour de nombreuses femmes et continue aujourd’hui de fasciner: des ouvrages, films et chansons lui sont consacrés. Elle apparaît même dans un épisode des Simpson, dans lequel Monsieur Burns reconnaît avoir commandité l’abattage de son avion. Une hypothèse de plus…

Le premier vol

A voir: Le documentaire «Expédition Amelia» retrace l’expédition de Robert Ballard autour de l’atoll Nikumaroro en août 2019. A voir sur National Geographic TV. Disponible en replay sur Mycanal.

A lire: Amelia Earhart était elle-même une auteure à succès. Elle a notamment publié «20 Hrs., 40 Min.» en 1928, dans lequel elle raconte sa première traversée de l’Atlantique en tant que passagère, et «The Fun of It», un essai sur les femmes dans l’aviation, en 1932.

Source Le Temps

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L'avion d'Amelia Earhart, disparu il y a 87 ans, pourrait avoir été retrouvé à 5000 mètres sous l'eau. Une image sonar prise dans le Pacifique pourrait représenter le Lockheed 10-E Electra qui aurait pu permettre à «Lady Lindy» d'être la première femme à réaliser un tour du monde en avion en 1937.31 janv. 2024
 
 
Diego DIAZNombre de pages : 13220 €
Format(s) : Papier EPUB PDF