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02/11/2016

SOURCE DE LA BURQA

burqa.jpgLa burqa (en pachto, برقع), parfois orthographié burqua, ou plus rarement bourka1, est un voile intégral d'origine afghane porté par les femmes principalement en Afghanistan, au Pakistan et en Inde.

Selon les pays, le port de la burqa est soit un choix personnel, soit une obligation stricte. Cette tenue vestimentaire est essentiellement portée dans les pays de religion musulmane. Les spécialistes de l'Islam sont en désaccord sur les liens entre le Coran et la burqa. Une partie d'entre eux soulignent que le Coran n'impose aucune tenue vestimentaire particulière, mais plutôt d'être vêtu de façon modeste.

En France, le mot a été utilisé improprement par des politiques et journalistes au cours du débat sur la légalité du port du voile intégral islamique, le niqab, comme synonyme de ce dernier. Le niqab laisse les yeux visibles alors que la burqa moderne intègre une grille ou un voile léger destiné à masquer le regard. Cette burqua moderne est une invention récente qui a été imposée par les talibans en Afghanistan dans les années 1990 et qui s'est ensuite répandue parmi les mouvements salafistes les plus radicaux2,3. En Turquie, le président Atatürk, qui voulait construire un pays fort selon le modèle occidental, ne pouvait s'en préoccuper ; en revanche, il a fait des tentatives pour lutter contre le port du niqab pour les femmes et du fez pour les hommes4.

Sources Wikipédia

Origine historique de la Burqa !!

Il serait bon de rappeler ceci aux porteuses de Burqa actuelles, peut-être qu'elles se vêtiraient autrement. La Burqa vient du Culte d'Astarté dans la Mésopotamie antique.

Pour honorer la déesse de l'Amour Physique, toutes les femmes sans exception devaient se prostituer une fois l'an dans les bois sacrés qui entouraient les temples de la déesse.Pour ne pas être reconnues, les femmes de la haute société prirent l'habitude de se voiler totalement.

Et n'oubliez pas ceci : Mustapha Kemal, alias Atatürk, 1er président de la Turquie, de 1923 à 1938, avait trouvé la bonne astuce pour clouer le bec aux intégristes de l'époque.

Il avait mis un terme au port de la burqa, en faisant une loi toute simple, avec effet immédiat, toutes les femmes turques ont le droit de se vêtir comme elles le désirent. Toutefois, toutes les prostituées doivent porter la burqa. Dès le lendemain, on ne voyait plus de burqa en Turquie.

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27/09/2016

CHANSONS ROUGES MOSAIK RADIO : LA NOUVELLE GRILLE DE PROGRAMMATION

chansonsrouges1400.jpg16 HEURES DE MUSIQUES, 8 HEURES D'INFORMATIONS

Flashs d'informations toutes les heures

Tous les jours le Grand Journal à 7h, 9h, 13h, 17h, 19h

Tous les jours Tops Magazines 8h, 12h, 18h, 23h

Le 7-9, tous les matins de 7h à 9h, 2 heures d'informations et de musiques en continu

LUNDI :

10h : Paroles de chanteurs,

13h30 : Villes du monde par les chansons,

14h : Magazine Sciences et santé,

15h : Conseils cuisine,

20h : Plus belles les luttes,

22h : Découverte Jazz

MARDI :

9h30 : Fêtes de l'Humanité la légende,

10h : Magazine reportages et débats,

14h : Magazine consacré aux médias,

15h : Découverte musique country,

17h30 : Musique Cubaine,

20h : Magazine sur l'environnement,

22h : Histoire des chansons révolutionnaires

MERCREDI :

9h30 le piano du pauvre moment accordéon,

10h : Magazine Sciences et santé,

14h : Plus belles les luttes,

15h : Rires et chansons des années 1950 et 1960,

20h : Magazine reportages et débats,

22h : Découverte musique country

JEUDI :

Minuit à 6h du matin : la nuit classique,

8h30 : Villes du monde en chansons,

10h : Déouverte Jazz,

14h : Histoire des chansons révolutionnaires,

15h : Magazine Histoire,

20h : Magazine consacré aux médias,

22h : Magazine littéraire

VENDREDI :

Minuit à 6h du matin tous en boîte,

10h : Panorama grand angle,

12h30 : Musique Cubaine,

13h30 : Fêtes de l'Humanité la légende,

15h : Magazine consacré au cinéma,

20h : Conseils cuisine,

22h : Rires et chansons des années 1950 et 1960

SAMEDI :

Minuit à 6h du matin tous en boîte,

10h : Magazine sur l'environnement,

12h30 : le piano du pauvre moment accordéon,

14h : Magazine littéraire,

15h : Histoire des chansons révolutionnaires,

17h30 : Fêtes de l'Humanité la légende,

19h30 : Villes du monde en chansons

20h : Magazine consacré au cinéma,

22h : Paroles de chanteurs

DIMANCHE :

10h : Découverte musique Classique,

15h : Panorama grand angle,

18h30 : Musique Cubaine

20h : Magazine d'histoire,

22h Découverte musique Classique

 

 

27/07/2016

Le peuple de Paris mis en Seine

Bandeaugensdelaseine.jpg

Marie-Noëlle Bertrand, L'Humanité

À l’heure où l’on parle de reconquérir les quais de Seine, deux chercheuses racontent les usages qui étaient ceux du fleuve au XVIIIe siècle.

Imaginez que nous sommes en 1791. Imaginez que vous êtes mitron, à Paris, chez un maître boulanger. Imaginez un dimanche. Enfin, imaginez qu’il fait beau. « Eh bien, c’est ici même, au pont Royal, que vous viendriez, avec votre bonne amie, prendre la galiote pour Saint-Cloud. » La galiote, c’est ce grand rafiot plat halé par des chevaux qui écumait la Seine du XVIIIe siècle et embarquait jusqu’à cent voyageurs pour les faire passer de Paris à autre part, et inversement.

Celui qui en raconte présentement les déambulations, d’une voix friande d’anecdotes certifiées historiques, c’est Christian Hecq, de la Comédie-Française. Avec d’autres, l’acteur prête son timbre à la balade qui nous occupe aujourd’hui. Elle nous fait courir le long de la Seine, donc, à une époque où les quais de la capitale grouillaient de monde et où le peuple parisien vivait de l’eau, tirant du fleuve ses ressources et ses rythmes, respirant à son flanc, se nourrissant de son écume, se divertissant de ses humeurs. Une époque où l’habitant était d’abord riverain, et où les usages que l’on faisait de la Seine ne se limitaient pas au seul transport de marchandises.

Une histoire faite de travailleurs et de métiers depuis longtemps évincés

paris,seine,peupleDeux chercheuses – une historienne, Isabelle Backouche, et une sociologue, Sarah Gensburger –, épaulées par une directrice artistique – Michèle Cohen -, ont entrepris de l’exhumer et de la raconter au fil de l’eau et du Web. L’expérience s’appelle Gens de la Seine, et se retrouve sans peine à l’aide de tout bon moteur de recherche (1).

Ici, foin de focus sur le patrimoine architectural ou les grands hommes que la postérité a pris soin de porter plus haut que les autres. « Nous voulions mettre en scène une histoire sociale de la ville, ancrée dans un territoire et une proximité de vie », explique Isabelle Backouche, qui a fait du fleuve son terrain de recherche. Une histoire faite de travailleurs et de métiers depuis longtemps évincés, dont certains pourraient revenir à l’honneur, à l’heure où s’opère la reconquête de rives séquaniennes squattées par les automobiles.

Imaginez, donc. Vous êtes parisienne, touriste ou tout simplement internaute. Vous décidez de vous promener quai Voltaire, virtuellement ou en chair et en os, écouteurs aux oreilles. Là, vous cliquez sur cette zone de la carte indiquant le point où vous êtes. Et vous vous laissez emmener par le récit. « Il y aurait beaucoup de monde à l’embarquement, reprend le narrateur. Les matelots auraient fait le tour de toutes les auberges voisines pour appeler les clients.

On attendrait les retardataires avant de partir. » La galiote passerait les villages de Chaillot, de Passy et d’Auteuil, laissant sur sa gauche le moulin de Javelle, les îles verdoyantes couvertes de troupeaux, la plaine de Billancourt ou encore les collines de Meudon. « Au bout d’un moment tout le monde discute dans le bateau. Comme le dit fièrement son capitaine : “C’est dans ma galiote qu’il faut venir pour entendre les plus belles motions et les plus beaux discours sur la Révolution, sur la Constitution, sur les droits de l’homme, de la femme, des enfants et de leurs nourrices”. »

Vous quittez le quai Voltaire pour celui des Tuileries, là où les blanchisseuses tiennent le haut du pavé, enveloppées par l’odeur du savon et le bruit des rires et des coups de battoir. Si les bourgeois d’alors préfèrent envoyer laver leur linge sale en campagne, les petites gens, elles, leur confient le leur à moindres frais. « La présence des bateaux de lessive sera finalement dénoncée. Ils gênent la navigation. » Quant au linge qui sèche sous les fenêtres du Louvre et des Tuileries, on finira par le trouver choquant.

paris,seine,peupleLes blanchisseuses seront chassées des bords de Seine et se replieront dans les lavoirs de la ville, tel « celui de la Goutte-d’Or, où l’on respirait, comme l’écrira Zola, l’étouffement tiède des odeurs savonneuses ».

Elles ne seront pas seules à se faire bouter loin des abords du fleuve. Les teinturiers, qui sont encore, au XVIIIe siècle, une dizaine installés quai de la Corse dans de vastes ateliers, bénéficiant, depuis Hugues Capet, du privilège de ne pas payer de taxe sur leur bateau, en seront eux aussi chassés, accusés de polluer l’eau.

Idem pour les tripiers, posés près de Chatelet, où se trouvaient alors les grandes boucheries et dont les déchets sanguinolents finiront par s’accumuler à tel point qu’ils entraveront la navigation. Les vendeuses de billets de loterie, comme la veuve Marchand, dont les archives témoignent qu’elle écrira au roi pour tenter de sauver son commerce, en 1785, se verront elles aussi expulsées, de même que celles de marrons ou d’oranges, ou que les échoppes de broderie et de quincaillerie.

Le port de Saint-Paul, le plus important du Paris de l’époque, où l’on venait acheter bois de chauffe, poissons, papier, vin ou eau-de-vie, et où croisaient bateaux coches et des bacs de voyageurs, est lui aussi sur cale depuis bien longtemps.

Seules perdurent les brigades de sauvetage qui venaient au secours des noyés, du temps où rares étaient ceux qui savaient nager. Leurs méthodes, heureusement, ont changé, quand on apprend que le kit de sauvetage de l’époque comprenait, outre de l’ammoniaque et une plume pour chatouiller le nez, « un mode d’emploi pour introduire dans le fondement des malheureux de la fumée de tabac en se servant de la machine fumigatoire ».

Le site web Le peuple de Paris

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15:08 Publié dans L'Humanité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris, seine, peuple | |  del.icio.us |  Imprimer | | Digg! Digg |  Facebook |